Paray-le-Monial - Saône-et-Loire (71)    

Visitons le Musée - Max Jaunez et le groupe Cerabati (1921-92)

En avril 1921, Max(imilien) von Jaunez, fils d’Edouard, regroupe les usines de Sarreguemines, Wasserbilig, Jurbise, Betschdorf, Pont Ste Maxence et Paray-le-Monial dans la Compagnie Générale de la CERAmique du BATIment (ou CERABATI).

 

L’usine de Châteauroux, bâtie en 1962 s’ajoutera ensuite au groupe. Dés 1922, pour fidéliser ses ouvriers (avec la concurrence de la cité cheminote P.L.M.), Max Jaunez fait bâtir à Paray la cité céramique, qui porte le nom de son père Edouard (qui avait sauvé l’entreprise en la rachetant en 1891).

 

Sa fille Hélène, épouse du comte Jean de Vogüe, deviendra P.D.G. du groupe en 1946 et jusqu’à la fin de Cerabati en 1992.

 

L’apogée de l’usine est atteinte vers 1950 avec environ 900 personnes.

 

Les années 1955 voient la modernisation : mécanisation de l’atelier des presses, nouveaux ateliers de préparation des terres, premiers fours électriques.

 

Hélène de Vogüe, P.D.G. du groupe anticipe le choc pétrolier de 1974 en lançant à Paray en 1972 les carreaux sérigraphiés [voir « Les carreaux sérigraphiés »], qui sont un échec commercial.

 

 

 

 

Puis c’est la lente descente vers la fin du groupe en 1992.

 

 

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